Obligatoire... CRIMINALISATION de la critique



"Comment pouvez-vous dire que le masque sauve des vies?

Il nous empêche de respirer..."





CRIMINALISATION de la dissidence

CRIMINALISATION de la critique




Psychiatrisation de la dissidence


(texte de l'article original et légende de la photo ci-dessous - La  Montagne)

Des centaines d'"anti-masques" se sont réunis le 16 août à Bruxelles. Aucun rassemblement de ce type n'a encore été organisé en France. Photo AFP


Très actifs aux États-Unis ou en Allemagne, les opposants au port du masque tentent aussi de s’organiser en France. Sans grand succès pour l'instant.

Les « moutruches ». Voilà comment les « naïfs » et autres « ignorants » qui acceptent de se couvrir le visage sont surnommés sur les collectifs anti-masques qui fleurissent en ligne.

À mi-chemin entre « moutons » et « autruches », ces malheureux porteurs de « muselière » – toujours selon la terminologie de leurs détracteurs – auraient renoncé à l’un de leurs derniers espaces de liberté et plié piteusement sous les injonctions de la « dictature sanitaire ».

Créé le 3 mai, à quelques jours du déconfinement, le compte Facebook « Anti masque obligatoire » est l’une des caisses de résonance de cette colère d’abord alimentée par les revirements de l’exécutif sur le sujet.

L’extension des mesures coercitives dans l’espace public a pris le relais, au point de générer un nouvel afflux (modeste) de sympathisants à la cause : 1.200 membres ont rejoint le groupe en l’espace d’une semaine, pour un total affiché de 6.400 ce lundi.


Corée du Nord et dangers du CO2

Dans un message posté le 12 août, l’un des administrateurs listait les raisons de son combat. Un catalogue d’arguments pour le moins hétéroclites, qui va de « L’envie de respirer après deux mois de prison inutiles et criminels » à « Nous avons vécu des milliers d’années sans muselière et sommes malgré tout 8 milliards », en passant par « Respirer son CO2 est dangereux », « Nous ne voulons pas devenir une nouvelle Corée du Nord » ou encore « Nous avons un système immunitaire dont la presse poubelle ne parle jamais ».


L’expertise de Jean-Marie Bigard…

Toujours embryonnaire, et à ce stade incapable d’une réelle structuration, le mouvement s’est tout de même trouvé quelques têtes d’affiche.

Sans grande surprise, l’humoriste Jean-Marie Bigard en fait partie. Dans une vidéo mise en ligne dimanche, cet adepte du complotisme explique avec gourmandise que le masque ne « sert à rien » contre le virus, puisqu’il est même impuissant à endiguer l’odeur d’un simple… pet. 

Dans un tout autre genre, une médecin du Bas-Rhin a également eu son éphémère moment de gloire virtuelle. Cette généraliste a diffusé fin juillet, toujours sur Facebook, des certificats pré-établis – libre à chacun d’y ajouter son nom – attestant d'une « contre-indication médicale au port du masque en continu et ponctuel ». La sanction n’a pas tardé?: l’Alsacienne a été suspendue pour cinq mois minimum.

Même ultra-minoritaires, ces voix discordantes irritent et inquiètent. « Quand le masque est décrit comme liberticide, pour nous les soignants, et encore plus pour les réanimateurs, il y a quelque chose d’inaudible », s’est par exemple agacé l’infectiologue Gilles Pialoux, ce lundi matin, sur France Inter. Avant d’ajouter, grinçant : « La ventilation artificielle pendant 26 jours, c’est très liberticide. La rééducation longue après la réanimation, c’est très liberticide. » 

Stéphane Barnoin (La Montagne)



Criminalisation de la pensée critique… De la pensée tout court...

Dénigrement des arguments  sans réponse structurée, dénigrement des personnes...

Entorses au bon sens, évitements...  Avant tout, il convient de discréditer la critique... sans jamais répondre précisément, ce qui ouvrirait la discussion aux faits et non à l'émotionnel. Tout un art.

"Complotistes"... Comprenez: psychiquement dérangés. Comme aux plus beau jours de la terreur communiste de la Russie à la Chine, on "psychiatrise" l'opposition intellectuelle, on nie l'évidence, on ridiculise le pur bon sens... et on réduit à néant toute opposition en incriminant la santé mentale de ses détracteurs. Un classique des régimes totalitaires.

Après la criminalisation des délinquants de la pensée, la criminalisation tout court des citoyens sous surveillance…

La criminalisation de la vie… 

Coercition, punition...

Vous avez remarqué que c'est toujours de notre faute, à nous les gens ordinaires? 

Pas assez obéissants, pas assez respectueux, pas assez responsables, trop égoïstes, trop stupides, trop râleurs...

L'épidémie, c'est de notre faute.

On ne respecte pas le confinement, cette privation de liberté  qui n'est que pour notre bien.

On ne respecte pas le port du masque, cette privation de liberté  qui n'est que pour notre bien.

On ne respecte pas les distances physiques, cette privation de liberté qui n'est que pour notre bien.

Tout est de notre faute, au fond, on ne mérite aucun respect, aucune considération, on ne mérite que le mépris de nos  élites dirigeantes qui font tout pour nous sauver alors que nous ne somme qu'une masse informe et répugnante de dangereux irresponsables...

Et pour que ça rentre bien dans le crâne, il n'y en a plus que pour le masque, symbole flamboyant de cette nouvelle normalité où... 

TOUT LE MONDE FERME SA GUEULE!


 




  

C'est obligatoire... 

Qu'importe la vraisemblance scientifique, le tout, c'est la nouvelle norme sociale...






Et pour ceux qui n'obéissent pas (pas assez, pas assez bien, pas assez vite)...



...double peine. Bien fait pour sa g... 






CE SITE A ÉTÉ CONSTRUIT EN UTILISANT