L'édito

L'Edito

de Judith-Prune Genot




Ici Bourbon




Edito du 5 septembre 2020


Deni de réalité et coercition... ça continue


L'épidémie est finie, si elle a jamais commencé, plus de cas sévères, plus de morts, mais des "cas".

Bien que l'on ne puisse pas discerner un coronavirus d'un autre, on teste "massivement", ce qui a pour effet - pardon, pour but - de mettre au jour un nombre effrayant de cas...

Effrayant, c'est l'idée, rappelez-vous: les "modèles mathématiques" qui nous prédisaient qu'on allait tous crever.

Comme au bon vieux temps du sida, tiens, ça nous rajeunit pas...

Voilà, en dépit de toute justification raisonnable, les pouvoirs totalitaires décrètent des mesures d'ingénierie sociale de plus en plus visibles vers la mise au pas TOTALE de la population, globalement consentante.

Dans l'Allier (on cherche encore les morts avérés...), 13 (on apprécie au passage ce chiffre connoté) 13 communes ont l'honneur d'être parmi les premières à imposer le masque dehors... 

Le début d'une nouvelle vie pour tous... 

Bon, vous allez pas en faire toute une histoire, bande de grincheux, c'est juste de 7h30 à 12h30 les mercredis et samedis, de par cheux nous.

Le reste du temps? Le virus est pas là, ou il bosse pas, ou alors il est pas méchant, qu'est-ce que j'en sais, moi?

En Italie, il sort que la nuit: masque obligatoire de 18h30 à 8h du mat'.

Si: il bosse de nuit chez les ritals - ou alors il fait la bringue, j'en sais rien, moi, je suis pas italienne.

Non, sérieux, vous avez toujours pas remarqué qu'on se fout de not'gueule? Comment ça chuis vulgaire?

Ah bon? Vous trouvez? Merde... euh, crotte, enfin zut, quoi.

Mais sinon, ça change quoi aux faits, hein?

Moins y'a de morts, plus y'a de masques.

C'est la nouvelle logique. Enfin, c'est la logique de la nouvelle norme (Afnor, naturellement).

Bref, tu fermes ta gueule et t'obéis, ça, au moins, ça change pas de trop.

Vulgaire, eh, sérieux, c'est vrai, vous trouvez ?












Edito du 5 septembre 2020



Comme il fallait s'y attendre...


 "-On vient de Clermont. On est venu pour vous", nous dit Charline Collet de France 3 Auvergne, accompagnée d'un cameraman.

Tiens, c'est gentil, ça!

Bon, de prises de vues en interview, ça se passe, sous l'oeil de quelques gendarmes bien équipés (fusils mitrailleurs et panier à salade, m'a-t-on affirmé, mais planqué dans les coulisses...

L'heure des nouvelles arrive... La jeune (et belle présentatrice, papier à la main, évoque notre biau village...

Bref instant de gloire, nous ouvrons l'édition du soir:

"On les appele les anti-masques"... 

Ah bon? Première nouvelle! Qui ça "on"?

Comme le dit un bon copain - non-complotiste, hein? Je tiens à préciser, par les temps qui courent... Bref - le copain, il dit: "on est un con".

C'est pas moi qui le dit, c'est lui. Mais je m'égare. Ecoutons la suite du JT:


"Un temps contenus sur les réseaux sociaux, voilà les anti-masques dans la rue." 

"Contenus"...

Contention?

Camisole?

De la petite vermine de "réseaux sociaux", quelques marginaux, quelques vieux gâteux, tout juste bons pour l'HP, c'est ça le message???

Entre parenthèse, le couple contradicteur présenté comme "les habitants" n'est pas de première jeunesse non plus... Mais ils sont plus obéissant, derrière leur masque réglementaire, et plus sujet à la peur du virus. Et c'est bien, ça. Bien élevé, assis, couché, à la niche.

Bon.

Allez, c'était sans surprise: complotistes, irresponsables... 

Le discrédit de la légitime contestation par la ridiculisation, la psychiatrisation, la criminalisation de la dissidence...

Déni de la réalité et ridiculisation du pur et simple bon sens... 

Encore et encore...

En regard de ce petit groupe informé et vigilant, documenté... Un couple de personnes âgées (manifestement des curistes de passage, même pas des habitants de Bourbon) bien dressé, sans argument autre que les arguments émotionnels bien appris qu'ils répètent comme des perroquets. Voilà qui rappelle "Le meilleur des mondes" où la programmation linguistique est arrivée à son paroxysme.

"On les appele les anti-masques"... 

Qui ça "on"?



Edito du 27 août 2020


BAS LES MASQUES !

CRIMINALISATION de la dissidence

CRIMINALISATION de la critique

Psychiatrisation de la dissidence



Criminalisation de la pensée critique… 

De la pensée tout court...


Après la criminalisation des délinquants de la pensée, la criminalisation tout court des citoyens sous surveillance…

La criminalisation de la vie…

Coercition, punition...

Vous avez remarqué que c'est toujours de notre faute, à nous les gens ordinaires? Pas assez obéissants, pas assez respectueux, pas assez responsables, trop égoïstes, trop stupides, trop râleurs...

L'épidémie, c'est de notre faute.

On ne respecte pas le confinement, cette privation de liberté  qui n'est que pour notre bien.

On ne respecte pas le port du masque, cette privation de liberté  qui n'est que pour notre bien.

On ne respecte pas les distances physiques, cette privation de liberté qui n'est que pour notre bien.

Tout est de notre faute, au fond, on ne mérite aucun respect, aucune considération, on ne mérite que le mépris de nos  élites dirigeantes qui font tout pour nous sauver alors que nous ne somme qu'une masse informe et répugnante de dangereux irresponsables...

Et pour que ça rentre bien dans le crâne, il n'y en a plus que pour le masque, symbole flamboyant de cette nouvelle normalité où... 


TOUT LE MONDE FERME SA GUEULE!



Muselière - Choisis la tienne :





Edito du 26 août 2020


Chers vous tous, êtres humains,

Le droit inaliénable de respirer librement a été de fait aboli par décret.
L'obligation du port du masque-muselière s'étend insidieusement.

Nous les humains
Nous refusons nettement et sereinement cette attaque contre la liberté la plus fondamentale de tout être vivant:
l'atteinte à la fonction vitale de la respiration, ainsi que l'atteinte à la dignité humaine, à la libre expression de la parole sans entrave, l'expression tout court, du visage, du langage corporel, de la proximité physique.

Nous revendiquons le droit à la libre respiration, à la libre parole, à la chaleur humaine, le droit à la libre expression de notre humanité.

Le Code civil ainsi que la Déclaration des droits de l'Homme spécifie notre droit humains à l'intégrité.
Au nom de la dignité humaine,
Nous les humains souverains,
décrétons que ces mesures de coercition sous couvert d'urgence sanitaire, hautement contestable par des arguments scientifiques ainsi que par le simple bon sens, sont illégitimes.

L'Autorité ayant outrepassé son droit et agissant désormais ouvertement contre le peuple et non plus dans l'intérêt de la sauvegarde de la liberté et de l'intégrité des membres de la communauté humaine,
nous mettons en cause la légitimité de cette Autorité devenue un danger pour ceux-là même qu'elle est censée protéger.

Il est temps de reprendre nos droits sans peur et sans violence.

Il est temps de nous souvenir que nous sommes libres
tant que nous le sommes encore.



Judith-Prune Genot



Edito du 14 août 2020

(edito video aussitôt censuré)


J'ACCUSE !


Atteinte à la dignité et l'intégrité humaines

Un petit coup d'oeil au Code civil m'sieurs-dames?
L'article 16 vous intéressera sûrement... encore faut-il le lire...

Le masque est un outil de contrôle social et un test de soumission: étouffement, empoisonnement, mise au silence.

La muselière, le baîllon et la destruction de l'immunité rendus obligatoires par décret!
Et pourquoi pas une laisse, tant qu'on y est?

- Attends, ça arrive, un peu de patience:
la muselière, la laisse, la puce et le vaccin.
Allez, sage, couché!



Judith-Prune Genot





Edito du 18 juillet 2020

Lundi... 
Jour d'obscurité... Journée noire
Lundi le masque obligatoire

Allons, mes frères, qu'allons-nous décider?

QUI veut nous museler?
Et QUI s'avance masqué?

Courage, mes frères, courage à nous!
Souvenons-nous que nous sommes libres tant que nous le sommes encore.
Mais le sommes-nous encore?

Souvenons-nous que nous sommes humains tant que nous le sommes encore.
Mais le sommes-nous encore?


Courage, mes frères, courage à nous tous!






Edito du 14 juillet 2020


14 juillet
Fête nationale.
Fête nationale?
Il n'y a pas eu de fête.

La fête nationale est annulée.
La nation est annulée.
De toute façon, aimer son pays, c'est nationaliste.
Nationaliste, c'est nazi, c'est raciste, c'est suprémaciste, c'est mal.

La fête nationale est annulée.
La fête est annulée.
La France est annulée.
De toute façon, la France, c'est mal, les pays, aussi, c'est mal.
Il faut être citoyen du monde, citoyen du nouvel ordre mondial.
Sinon c'est mal.

Tout ce qui n'est pas bien est mal, 
Et le mal, c'est de ne pas obéir à la nouvelle norme sociale:
obéissance "sanitaire", "anti-raciste", "contre la haine". Mais qui définit ce qui est "haine", "racisme", et le reste?
Il faut aimer tout ce qu'on nous dit et détester de même.
L'amour de son pays, de sa patrie, de ses racines, c'est racial, c'est mal.
La fierté de ce que l'on est, c'est bien si on est noir, mal si on est blanc.
Mais ça peut toujours changer, puisque ce n'est qu'un renversement de ce qui a été.
En fait "Le système l'exige" (1984, G. Orwell)

Liberté, égalité, fraternité sont annulées. 
Tout est annulé.
Sauf la "nouvelle liberté"
à savoir: le masque, le vaccin, le traçage, l'enfermement;
la "nouvelle normalité",
à savoir: la censure, la distanciation, le contrôle.

Tout ce qui n'est pas annulé est désormais obligatoire.
Et le plus drôle: c'est payant... et c'est vous qui payez!


C'est la fête au jetable,
Des milliards de masques à changer toutes les 4 heures!


Des billions de gants à jeter après usage!



Bon courage et bonnes courses... par internet, évidemment.
Vous payez vous-même votre asphyxie, votre muselage et votre aliénation... obligatoire sous peine d'amende!


"Ô merveilleux nouveau monde, rempli d'extraordinaires habitants!" (Shakespeare, La tempête)

Bon courage, mes chers frères humains, je vous aime de tout mon coeur. 
Courage, honneur.


Judith-Prune Genot


Anciens éditos


Edito du 14 avril 2020

(texte de l'edito video "Covid pour tout le monde" - nouslepeuple.c4.fr)


Ah, la bonne blague.

Enfin, voilà qui va détendre un peu cette atmosphère confinée.

Je veux dire, au sens premier du terme: étouffante, puante, privée d'oxygène.

Parlons un peu des morts. Paix à leur âme, naturellement, il n'est pas question de se moquer de la souffrance,

en aucun cas. On se fout déjà bien assez de not' gueule comme ça. Car ce sont un peu toujours les mêmes qui paient le prix fort pour les agissements délétères de leurs dirigeants, non?

Je sais pas vous, mais quand Macron compatit à notre sort, son cul moulé dans un fute St Laurent, bien carré dans son fauteuil tout doré, j'ai comme un peu la gerbe. (mais c'est peut-être un effet asymptomatique...)

Passons.

On devait rigoler, j'ai dit.


Parlons un peu de la souffrance, justement: celle d'une femme cloîtrée chez elle, sans avoir le droit d'en sortir,

qui tourne en rond dans ses quelques centaines de m2, ou dans son jardin,

l'un des plus grands parcs de Paris, y paraît, j'ai nommé les jardins de l'Elysée:

il paraît que Brigitte Macron s'ennuie, merde, qu'est-ce qu'on fait?. On verse une larme? On lui envoie des sous?

Non, je blague.


Sérieux, je veux parler des morts. Sous l'angle statistique.

Vous savez quoi? Il paraît que ce petit virus couronné a détrôné toutes les autres causes de mortalité:

Sérieux! Pus de crise cardiaque, pus d'rupture d'anévrisme, pus de cancer en phase terminale et pus de maladie auto-immune.

Encore moins de pneumonie, ça, évidemment, puisque "les symptômes tels que toux, fièvre, mal de gorge, oppression respiratoire... suffisent à évoquer le covid-19"

(c'est la directive du ministère de la santé, j'invente rien, vous avez qu'à vous renseigner). Pus besoin de test non plus, ça suffit avec la poignée de symptômes à tout faire que voilà!

Sérieux, que je vous dis.

On meurt plus de rien d'autre que du corona. Ca fout les boules, non?

Si il était pas là, çui-là, on mourrait plus de rien du tout dans notre beau pays, àlala!

Bon, ça ferait pas l'affaire des requins qui nous ont concocté une réforme des retraites sur mesure pour eux les riches,

qui le valent bien, évidemment.

Allez, vous inquiétez pas pour eux: le corona tombe à pic! D'une pierre deux coups: on enferme tous ces putains de prolos et

petits-bourgeois en gilet fluo ringard (Pendant ce temps, vite fait bien fait aussi, on fait passer la réforme de la retraite, la multiplication des antennes-relais de téléphonie ET la 5G partout, et 2-3 bricoles de derrière les fagots réclamées par les puissances qui dictent

leur conduites aux peuples souverains, hein?) et on négocie vite fait bien fait les vieux machins qui coûtent des sous.

Ceux qui crèveront pas du poumon crèveront de solitude, c'est trouvé, ça, hein?


Et pour pas qu'y s'échappent ou que leur neveux compatissants, leurs fifilles bien-aimées viennent les soutenir dans l'épreuve en

bravant l'interdit, dûment masqués et gantés cependant, on va poster des flics devant les maisons de vieux.

Rigolez pas, c'est ma copine qui me l'a dit. Elle a même pas eu le droit d'apercevoir sa vieille maman à la porte,

elle a dû laisser le sac de courses dans le sras à l'entrée, enfin, à l'accueil, j veux dire.


Vindieu, vraiment, une aubaine, que je vous dis!

Si il avait pas existé, il aurait fallu l'inventer! Mais non, pas Macron, le corona, vous suivez un peu?

Toutes façons on avait un homme sur le terrain. En Chine. Le mari de la ministre des solidarités-avec-l'industrie-pharmaceutique: Yves Lévy,

il a fait le gala d'ouverture du labo de Wuhan qui fabrique le covirus, euh, non, qui travaille sur des... euh, je sais plus, moi,

un labo de haute sécurité, P4, quoi, qui traficote des trucs infectieux, quoi, une ménagerie virale (qui va barboter des souches aux Etats-Unis de temps en temps, aussi, ça craint un peu quand ils se font piquer)

Donc si ça traînait de trop, on pouvait donner un coup de main aux chinois, non? Faut s'entraider, c'est ça, la solidarité.

Eux aussi, ils ont sûrement tout plein de vieux à dégommer.

... Je veux dire, plein de personnes âgées dont il faut s'occuper dignement, je me comprends, hein?


Bon, bref.

La conduite à tenir en cas de décès?

Si un parent ami ou voisin du défunt- voire un mec qui passait par là- a toussé ou éternué plus de 2 fois, c'est qu'y du corona dans l'air, et sûrement,

y a eu contamination, à coup sûr - ou presque, ces vieux, ça tient pas la route.

Cause de la mort: coronavirus.

C'était pas un vieux? C'est pareil, il a bien eu un contact avec un ami, un voisin, un collègue, un livreur de pizza qui était contaminé, non?

-Mais personne a été testé!

-On s'en fout, on teste plus, ça sert à rien: toutes façons c'est asymptomatique.

-Mais alors comment on le sait?

-Eh ben, justement, dans le doute, on prend pas de risque: covid-19 pour tout le monde!


Et pis, on a une circulaire du ministère: maintenant c'est comme la grippe: on teste plus, on s'en fout.

D'ailleurs on compte même plus: on estime.

"Les chiffres sont désormais basés sur des estimations épidémiologiques, comme pour la grippe".

Si, c'est dans la directive. Vonzy que j't'embrouille.

Mais pourtant on balance des "152", des "7893", genre, des chiffres précis, quoi.

Ca fait réel, ça fout les jetons, hein? T'inquiète, c'est fait pour.

Comme au cinoche. Alàlà, qu'est-ce qu'on rigole.

Comment tu veux qu'on sache, de toutes façons, puisqu'on teste pas?

-Mais alors, comment on sait que quelqu'un est mort du covid-19?

On SAIT, c'est tout, on suspecte, on estime. D'où tu poses des questions? T'es de la police?

T'as ton attestation, d'ailleurs? Allez, circule! Tu veux ma matraque sur la g... ?

Pour acheter des tonnes des lacrymos, des matraques et des taser, y'a toujours des sous, demande aux gilets jaunes.


Ca vous en bouche un coin, hein?

Comment qu'on sait, alors? Qui qui meurt ed'quoi, hein?

On mélange tout et on trafique les chiffres, dans un sens ou un autre...

Je vous vois venir.

Eh non, pour une fois il faudra nous retenir de mettre ça sur le dos de l'incompétence notoire des politicards tricolores.

car le phénomène est mondial.

Intéressant, non?

Comment ça complot? J'ai rien dit moi!

Et pour la coupe du Monde de football, on a le droit de parler d'un événement d'envergure mondiale sans être traité

de complotiste, hein? Bon. Je comprends plus rien.


Bref, 19 pour cent seulement des morts en Italie, comptés comme victimes de l'épidémie seraient

morts DU coronavirus. Quant au reste...

Ils ont morts AVEC le coronavirus. Haha, c'est ça, la blague.

Et encore, s'ils ont tous été testés, ante ou post mortem.

Ben oui, la logique, c'est que si t'es en phase terminale MAIS que tu es testé positif, t'es officiellement

mort du corona. Obligé.

Ca vient de là-haut, de l'OMS.

Mieux: tu meurs d'infarctus, d'hémorragie, de tout ce que tu veux, y'a le choix. Mais si un des membres de ta famille

a été à un moment ou un autre testé positif, c'est corona pour tout le monde, tournée générale.

T'as le droit de mourir de ce que tu veux, note bien. MAIS tu seras comptabilisé dans les décès du corona.

Ingénieux, non?

Pourquoi?

Comment ça, pourquoi?

Parce que c'est comme ça, tralala.

L'OMS dit corona, c'est corona. L'OMS dit on confine, on confine.

L'OMS dit on vient chercher les gens dans les familles et les emmener et les isoler pour leur bien,

dignement... Bon, ça, j'avoue on a peut-être pris un peu de retard.

On va faire un effort, promis.

Et pour les promesses, comme tu sais...

C'est comme la rhétorique de crise:

Les masques ça sert à rien mais il faut pas sortir sans, mais comme il faut pas sortir, y'en a pas besoin. Malin.

C'est une petite grippe mais faut enfermer la population toute entière parce que c'est hyper contagieux. Mais avant que ça le soit, ça l'était pas, tralala! La Buzyn, elle a pleuré en sortant de de chez le président à cause des morts à venir, mais elle a rien dit parce qu'il y avait pas de risque, tu suis?

D'ailleurs défense de sortir mais allez voter. Alàlà, qu'est-ce qu'on se marre!

On déconfine sans déconfiner, on rouvre les écoles, mais pas trop, on ouvre tout en fermant, tout un art.

Comprenne qui peut.

D'ailleurs si les français sont pas sages on les laissera pas sortir le 11, na.

Rien à voir avec l'avis du médecin, c'est comme ça.

C'est Macron qui l'a dit. Si on est pas gentils, on restera au coin encore un peu.

Pourquoi?

Ben comme ça, pour le plaisir, pour le plaisir de nous voir bien soumis.

Ha ha, on les voit, les gilets jaunes, les rebelles à deux balles! Ben non justement on les voit plus.

On voit plus personne.

Couchés, les français, coucouche panier, le peuple d'irréductibles gaulois.

Ceux qu'on pas peur du virus ont peur du flic, et inversement.

C'est trouvé, ce truc, je te le dit.


Pour en revenir à l'hexagone, donc, il y a eu quelques petits malins qui voulaient faire du zèle.

Eh oui, il y a eu ce directeur d'un labo d'Angers qui proposait de sacrifier à l'effort de guerre et de produire

environ 1000 tests par jour. Mais voilà:

il lui fallait l'autorisation du ministère, un truc administratif, un truc de législation.

Hors de question, ce con a failli tout faire foirer.

Comme l'abruti aux cheveux longs, à Marseille, bien connu de nos services: Yves Lévy, le mari de la Buzyn lui a fait

quelques coups tordus, genre pas voter l'homologation de son institut pour qu'il touche pas de sous.

Eh oui, le con, il est dans le public, au service des esclaves, alors que Lévy, à l'Inserm, il fait

du contact people avec tous les gros bonnets de l'industrie, avec des marchés bien juteux à la clé. Genre Wuhan?

Bref.

Fallait mieux choisir ton camp, Didier. N'empêche, on a beau retirer la chloroquine de la vente libre AVANT l'épidémie,

discréditer son protocole en l'appliquant de travers, le priver de masques, de tests...

Ce con se démerde pour y arriver quand même. Et mieux que tout le monde. Prétentieux, sale type.

On parle que de lui, un sacré raout, un putain de con de bordel marseillais, qu'il a mis, oui!

De quoi il se mêle celui-là? On lui a demandé l'heure qu'il était?

Même Saint Daniel Cohn-Bendit, tu sais, celui qui interdit d'interdire, tu sais, le héros de 68, oui, Dany le rouge,

le vert, le jaune, celui qui aime bien tripoter les petits enfants, non, pardon, se faire tripoter c'est quand même pas

pareil, même si il faut leur donner un petit coup de pouce aux gamins, bande d'empotés ceux-là, alàlà, crotte,

et moi qui allait l'accuser, c'est ballot,

lui-même, eh ben il a dit qu'il fallait lui fermer sa gueule, à Raoult.

Il parle d'or, notre Dany, non? Je l'ai vu sur internet, remonté, qu'il était, il gueulait noblement, courageux et vaillant, bien planqué

dans son petit - non, pardon, son grand appart', pendant que ce clown à cheveux blancs en blouse longue, non, zut,

l'inverse, s'agite dans des couloirs d'hôpital bourrés de malades contagieux qui toussent ou qui glairent, tout ça

pour nous donner mauvaise conscience et nous écrabouiller notre beau virus made in China.

C'est moche.



14 avril 2020


Un florilège de commentaires de personnes ordinaires :
(à propos de la gestion de la crise sanitaire par le gouvernement) :


Dans une démocratie saine, tout le gouvernement serait en TAULE!


Mais on ne va pas se mentir ! S'ils mettent autant de temps à l'utilisation de ce médicament c'est parce que les coteries pharmaceutiques qui ont les clés de l'Elysée ne sont pas contentes car il est trop bon marché. Ils ne pourront pas se faire une grosse quantité de pognon. Ce sont ces gens-là à abattre et les corrompus avec !


Si on était vraiment en guerre, on serait déjà tous mort. Par contre, ils ont bien géré les bombes lacrymo pour les manifs, il en a pas manqué !!!



Ils ont prévu des tonnes de LBD et gaz lacrymo contre les manifestants, mais pas un masque pour sauver les français, pour les éborgner, là y'avait du matos.



Aller voir aussi l'histoire de l'Entreprise qui fabrique les bouteilles d'oxygène!!! La seule de France!! Ils viennent de la laisser mourir....


Cohen, Levy, Cymes, Cohn-Bendit... toute la communauté "de lumière" tombe à bras racourcis sur le pauvre Pr Raoult... j'imagine qu'ils ne voudraient pas qu'une molécule qui ne coûte rien ne vienne faire d'ombre à leurs potes de la big pharma...


Une telle hargne téléguidée contre le professeur Raoult est absurde pour deux raisons :

- La première elle est suspecte

- La seconde Si le traitement réussi dans d'autres pays il y aura des comptes a rendre. Ceux qui alimentent la haine contre le Professeur Raoult auront à se justifier. Enfin j'espère!


Jugés par qui? des juges qui leur mangent dans la main?


L'enfant prodigue est un sociopathe criminel, son gouvernement de collabo autant que lui, la destitution doit être de salubrité publique avec jugement pour crime et trahison sur son peuple autochtone.. on attend l'opposition.. mais allo toujours personne au bout du fil..


Ces gens qui prétendent nous gouverner sont des hybrides des fictions de Jarry , Orwell , Kafka , Huxley ... des imbéciles , les valets serviles des lobbies qui ne veulent surtout pas défendre nos intérêts et notre santé bien au contraire ... Ô misère ... Nous avons le devoir de nous débarrasser de ces prédateurs narcissiques et cupides , celui d'être solidaires et fraternels ...




Edito du 10 avril 2020



ILS NOUS ONT MIS A GENOUX


L'état d'urgence nous a privés du jour au lendemain de nos libertés fondamentales

Quoi que l'on puisse penser de la réalité d'une menace virale pour tous, le fait de société est là: la question de la gestion de la crise par les autorités.

Un mot sur la maladie en elle-même? Il y aurait à dire, bien évidemment, sur les notions de virus et de terrain, d'immunité individuelle et collective, de matérialisme scientifique et j'en passe. Les virus sont-ils vivants? Participent-ils à l'évolution (encore un gros dossier...) ou ne sont-ils là que pour nus faire la guerre? Encore ce curieux manichéisme, cette logique de combat, qui implique la trilogie victime/bourreau/sauveur. Usant, non?


Le virus, ce vieux spectre régulièrement remis à l'honneur depuis que notre bon Pasteur, le petit chimiste a terrassé Béchamp, le clinicien du terrain, médecin, chimiste et pharmacien ("Le terrain est tout, le microbe n'est rien"), soutenu en cela par toute la clique industrielle. Celle-ci finance l'établissement privé qui deviendra l'Institut Pasteur, qui a généré depuis sa création des profits monumentaux, grâce à la politique vaccinaliste de masse mise en place par les élites et qui dure depuis lors. Il y aurait à dire, vraiment.


Le 16 mars, le gouvernement a annoncé au peuple français que celui-ci serait assigné à résidence à compter du 17 à partir de midi, et ce pour une durée minimum de 15 jours. Les sorties se font sur dérogation, celle-ci étant pour l'heure laissée à l'appréciation des citoyens, mais soumise à des conditions strictes, et sur présentation d'une attestation.

Pourtant la loi n'a été votée que le 23 mars (texte intégral dans l'onglet RESSOURCES - dossier DOCUMENTS). Le gouvernement avait-il le droit de prendre unilatéralement la décision précpitée d'enfermer la population sans concertation ni politique ni civile en l'absence de loi? (D'autant qu'il a atermoyé sur la question, accumulant les revirements qui ont achevé de mettre en évidence la duplicité et les motifs cachés de cette classe politique vendue à des intérêts incompatible avec le bien-être du plus grand nombre, pour ne pas dire davantage.)

Quoi qu'il en soit, les modalités d'application de l'assignation à résidence sous l'appellation "confinement" sont suffisamment floues pour mettre dans une situation fausse les citoyens et les forces de l'ordre, dont l'homme de la rue sait fort bien qu'il doit faire du chiffre sur son dos, puisque les voitures ne roulent plus.

Et voilà, les abus ont commencé (lire l'article "Abus de pouvoir", onglet ARTICLES pour connaître les modalités de recours et contestation) avec des verbalisations pour des motifs qui n'ont pas été spécifiés dans la loi.

Tant que nos droits civiques n'ont pas été restreints, il est important de les exercer: je vous enjoint à demander à l'agent (police, gendarmerie)  qui vous contrôle et éventuellement vous verbalise, ses:

  • NOM

  • GRADE

  • NUMERO MATRICULE

Ainsi que l'article de loi auquel vous auriez contrevenu, dans le détail (par exemple si vous avez bien votre attestation mais que vous l'avez remplie au crayon, ou raturée, etc). Ceci vous permettra d'avoir des éléments écrits lorsque vous contesterez le bien-fondé de la verbalisation.

Ceci est non seulement légal, mais constitue la protection de tout citoyen, vivant dans un état de droit.

En cas de doute, demander à voir la carte professionnelle (carte de fonctionnaire de l'Etat), du format d'une carte bancaire, avec un bandeau tricolore; mais seul le grade se trouve au recto.

Car on lit aussi que des malfrats (je veux dire des malfrats n'appartenant pas à l'appareil d'état) auraient extorqué de l'argent à des personnes en se faisant passer pour des policiers! Ceci, en fait, n'est pas nouveau, mais il convient d'être vigilant de tous les côtés, et d'exercer les droits dont on nous dit qu'ils existent dans notre beau pays. Voici une excellente occasion de voir si c'est toujours vrai. Bien sûr, il serait plus prudent de le faire avec la plus exquise courtoisie et le meilleur langage, surtout si quelque chose dans votre apparence est de nature à heurter la sensibilité d'une personne dont le costume tire sur le bleu clair-bleu marine, ou le kaki.




Edito du 9 Avril 2020


Mes très chers congénères,

Frères humains, soeurs humaines,


Les temps sont étranges.

Nous sommes collectivement sortis du "connu".

De plus en plus, nous allons devoir nous positionner.

Et choisir ce que nous croyons, à qui nous accordons notre crédit, mais plus encore, notre aide, notre secours, nos soins.

Par l'enfermement forcé, on nous a coupé de toute possibilité de nous réunir pour nous apporter mutuellement soutien matériel et réconfort humain, partage culturel, communion spirituelle.

C'est pourtant ce dont tout être humain a besoin avant toue autre chose.

Nous pouvons jeûner un temps variable, mais assez long; ceci restaure même notre santé physique.

Mais l'isolement social, c'est cela qui tue.

On veut nous faire croire que les produits "de première nécessité" sont la nourriture, les cigarettes (!) l'alcool (!) et même, je ne plaisante pas, le papier hygiénique. C'est dire si l'humain va mal.

En réalité, la première nécessité, c'est la chaleur humaine, l'empathie, la bienveillance, le réconfort, l'écoute réciproque, en un mot, l'Amour dans sa version la plus simple.

Tous ceux qui ont voyagé en Afrique, où les populations manquent de tout ce qui est nécessaire, y compris la nourriture en quantité suffisante, comprendrons de quoi je parle: les africains sourient même au plus profond de leur misère, comme les indiens, et nous montrent que notre humanité tient à ce que nous sommes et non à ce que nous possédons.

On nous a dépossédé du trésor de la relation à autrui, la relation informelle, imprévue.

Le téléphone, internet?

Allons-nous téléphoner, ou "chatter" avec votre voisin de la rue, celui à qui nous ne parlons pas spécialement? Celui-là, à moins de nous trouver fortuitement en sa compagnie et de lui adresser un sourire ou un bonjour, nous ne le rencontrons pas. Pourtant c'est lui, notre prochain, non?

Les télécommunications sont sélectives: elles sont ciblées vers nos amis, connaissances, relations de travail.

Ce qui nous a été retiré, c'est la possibilité d'une vie sociale INCLUSIVE et non exclusive (qui se limite aux gens avec qui nous choisissons d'être en contact).

Or toute société humaine est constituée de toutes sortes de personnes, de celles que nous aimons et avec lesquelles il est facile de communiquer, jusqu'à celles que nous n'aimons pas, personnellement ou idéologiquement.

La seule occasion de dépasser les préjugés et d'arriver à vivre ensemble en bonne entente, c'est d'entrer en contact avec l'humanité de l'autre.

Et cela se fait par le contact. La présence, la proximité. La bienveillance, évidemment. Mais ce n'est pas véritablement quelque chose qui peut se produire spontanément hors de tout contact humain.

Nous avons besoin de nous rencontrer physiquement, dans le monde réel, et pas dans cet espace virtuel qui ne nourrit que notre part mentale.


Courage à tous.






L'Edito paraît sur le site : nouslepeuple.c4.fr





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